Un centre d’impression 3D ouvre à Renens
Au
sein de l’école d’architecture Athenaum, mais ouvert au public et aux
spécialistes, le centre d’impression en trois dimensions propose divers
solutions avec plastique, céramique ou plâtre.
«Le
besoin en impression 3D va crescendo. Toujours plus de professionnels
en ont besoin. Le problème pour les petites start-up qui veulent
développer des prototypes, c’est que l’équipement adéquat coûte trop
cher.» De cette observation, Sébastien Actis-Datta, de la société
éponyme, a ouvert un centre d’impression 3D dans les locaux de l’école
d’architecture et design Athenaum, à Renens, nommé Pôle 3D-Tech.
«Ce partenariat nous permet d’avoir un espace adéquat, climatisé à une température précise. Les étudiants profitent du matériel. Et les gens qui ont besoin sporadiquement d’une impression 3D peuvent utiliser les machines.»
L’homme, via sa petite société de design (cinq employés), envisage d’ouvrir d’autres centres à travers la Suisse romande. «Beaucoup de gens sont intéressés mais n’auraient ni les moyens ni un volume suffisant de choses à imprimer pour acquérir une machine.»
Agrandir le plan
«Ce partenariat nous permet d’avoir un espace adéquat, climatisé à une température précise. Les étudiants profitent du matériel. Et les gens qui ont besoin sporadiquement d’une impression 3D peuvent utiliser les machines.»
Un outil en plein essor
Les impressions en trois dimension se démocratisent et le prix des machines aussi. Du modèle super basique à 2000 francs, jusqu’au matériel hi-tech à 100'000 francs, l’on peut créer des objets en plastique, en céramique (à cuire ensuite), en plâtre ou même désormais en or. Le coût d’une impression varie entre 1 francs et 100 francs, selon la taille et le matériel utilisé. Le potentiel est donc énorme. «C’est une solution économique: plutôt que de créer une tasse au Japon, de la reproduire à des milliers d’exemplaires et de l’importer par avion, on pourrait l’imprimer ici», explique Sébastien Actis-Datta. «Ce n’est plus du prototype, mais de la production rapide.»L’homme, via sa petite société de design (cinq employés), envisage d’ouvrir d’autres centres à travers la Suisse romande. «Beaucoup de gens sont intéressés mais n’auraient ni les moyens ni un volume suffisant de choses à imprimer pour acquérir une machine.»
Agrandir le plan